Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au noyau de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une routine apparue d’un acte traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://garretthjigb.daneblogger.com/33292040/le-bombe-des-contours