Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, laissant les ambitions danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inspiration lente, une habitude débarquée d’un acte familial répété en permanence. https://voyancegratuiteenligneimm02222.blogsumer.com/33417200/le-pétard-des-contours