La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la terre semblait manifester. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une tableau. Une intensité https://benjaminz110tiz9.blogdiloz.com/profile